Explaining the Non-significant Changes in Ice-off Date over Six Decades at Lake of Bays and Lake Nipissing, South-Central Ontario

The phenomenon of non-significant trends in ice-off date under a warming climate was quantitatively explained by three efforts: exploring possible driving factors where possible and defining new factors to represent snow conditions, identifying the contributing factors through correlation and trend tests, and evaluating relative contributions through partial Mann-Kendall method. Why the ice-off became only slightly earlier over 62 years at Lake of Bays has been satisfactorily assessed: the increased winter temperature, increased total rain and decreased days of snow on ground acted as three promoting drivers to earlier ice-off date, but their promoting functions were effectively offset by adverse changes in four other factors (snowfall slope, precipitation slope, snowpack slope, and last day of snow). The ice-off date at Lake Nipissing did not have a significant trend over 58 years, although there were five factors contributing to the ice-off decline without sufficient offsetting, suggesting that the ice-off of this lake may not be sensitive, or basically elastic, to the climatic variation stressor. Relative contributions of drivers as calculated helped explain how much they contributed to ice-off trends or how much they offset the influences.

Biological significance of miR-126 expression in atrial fibrillation and heart failure

We investigated the biological significance of microRNA-126 (miR-126) expression in patients with atrial fibrillation (AF) and/or heart failure (HF) to examine the possible mechanism of miR-126-dependent AF and development of HF. A total of 103 patients were divided into three groups: AF group (18 men and 17 women, mean age: 65.62±12.72 years), HF group (17 men and 15 women, mean age: 63.95±19.71 years), and HF-AF group (20 men and 16 women, mean age: 66.56±14.37 years). Quantitative real-time PCR was used to measure relative miR-126 expression as calculated by the 2−ΔΔCt method. miR-126 was frequently downregulated in the 3 patient groups compared with controls. This reduction was significantly lower in permanent and persistent AF patients than in those with paroxysmal AF (P<0.05, t-test). Moreover, miR-126 expression was markedly lower in the HF-AF group compared with the AF and HF groups. The 3 patient groups had higher N-terminal prohormone brain natriuretic peptide (NT-proBNP) levels, lower left ventricular ejection fraction (LVEF), larger left atrial diameter, and higher cardiothoracic ratio compared with controls. There were significant differences in NT-proBNP levels and LVEF among the AF, HF, and HF-AF groups. Pearson correlation analysis showed that relative miR-126 expression was positively associated with LVEF, logarithm of NT-proBNP, left atrial diameter, cardiothoracic ratio, and age in HF-AF patients. Multiple linear regression analysis showed that miR-126 expression was positively correlated with LVEF, but negatively correlated with the logarithm of NT-pro BNP and the cardiothoracic ratio (all P<0.05). Serum miR-126 levels could serve as a potential candidate biomarker for evaluating the severity of AF and HF. However, to confirm these results, future studies with a larger and diverse patient population are necessary.

Infarctus du myocarde a coronaires saines chez un sujet apres consommation de marijuana

"Introduction. Encore appele ""Cannabis""; la marijuana est la drogue illicite la plus consommee dans le monde avec des effets psychoactifs et medicinaux. Sa consommation peut avoir des consequences gravissimes. L'objectif de ce travail etait de rapporter un cas d'un homme de 32 ans; sans risque cardiovasculaire. Cas clinique et commentaire. Nous rapportons le cas d'un patient de 32 ans; sans facteur de risque cardiovasculaire; admis aux urgences de l'Institut de Cardiologie d'Abidjan pour une douleur thoracique infarctoide prolongee survenue cinq heures auparavant. L'interrogatoire retrouvait une prise de marijuana une heure avant le debut de la douleur. Les elements cliniques et l'electrocardiogramme avaient permis de retenir le diagnostic de syndrome coronarien aigu avec sus-decalage persistant du segment ST. Une revascularisation coronaire par thrombolyse a ete realisee; avec des suites simples. La coronarographie a retrouve des coronaires saines. L'hypothese retenue etait un spasme coronaire prolonge; du a la consommation de marijuana. Conclusion. Ce cas clinique doit attirer l'attention des praticiens et de la population sur les consequences cardiovasculaires possibles inherentes a la consommation de marijuana "

Infarctus du myocarde a coronaires saines chez un sujet jeune apres consommation de marijuana

"Introduction. Encore appele "" Cannabis ""; la marijuana est la drogue illicite la plus consommee dans le monde avec des effets psychoactifs et medicinaux. Sa consommation peut avoir des consequences gravissimes. L'objectif de ce travail etait de rapporter un cas d'un homme de 32 ans; sans risque cardiovasculaire.Cas clinique et commentaire. Nous rapportons le cas d'un patient de 32 ans; sans facteur de risque cardiovasculaire; admis aux urgences de l'Institut de Cardiologie d'Abidjan pour une douleur thoracique infarctoide prolongee survenue cinq heures auparavant. L'interrogatoire retrouvait une prise de marijuana une heure avant le debut de la douleur. Les elements cliniques et l'electrocardiogramme avaient permis de retenir le diagnostic de syndrome coronarien aigu avec sus-decalage persistant du segment ST. Une revascularisation coronaire par thrombolyse a ete realisee; avec des suites simples. La coronarographie a retrouve des coronaires saines. L'hypothese retenue etait un spasme coronaire prolonge; du a la consommation de marijuana. Conclusion. Ce cas clinique doit attirer l'attention des praticiens et de la population sur les consequences cardiovasculaires possibles inherentes a la consommation de marijuana."

Les manifestations O.R.L. de la lepre en Cote d'Ivoire

"Au terme de cette etude prospective (sur les manifestations ORL de la lepre en Cote d'ivoire) qui s'est deroulee du 20 Septembre 1999 au 20 Novembre 1999 a l'institut Raoul Follereau d'Adzope et qui a concerne 129 lepreux nous retiendrons ceci. 1) Au plan epidemiologique : la lepre touche beaucoup plus l'homme que la femme. (Environ 2 hommes pour 1 femme); c'est surtout une maladie de l'age adulte (30 ans a 60 ans). Elle n'epargne cependant pas les enfants ; c'est une maladie au tres long cours qui semble etroitement liee au bas niveau socio-economique et a un degre moindre; a l'heredite ; la vaccination par le B.C.G. lui confere une protection relativement faible. 2). Au plan clinique : la sphere ORL paie un lourd tribut a cette maladie quelle que soit la forme de cette derniere ; cependant les lesions sont plus frequemment rencontrees dans sa forme lepromateuse. Au premier rang de celles-ci; viennent les lesions du nez et ses annexes. A ce niveau; la rhinite atrophique semble etre la lesion la plus specifique. Elle n'est ni influencee par la forme de la maladie; ni influencee par le delai de prise eu charge ; la cavite buccale; le pharynx et le larynx sont atteints a un degre moindre que le nez et ses annexes. Au niveau de l'oreille. L'oreille externe est de loin la plus touchee. L'atteinte de l'oreille moyenne et de l'oreille interne est rare. 3. Au plan radiologique : La lepre; surtout dans sa forme lepromateuse; entraine dans environ deux tiers des cas; des lesions au niveau des os et des cavites de la face ; la lesion la plus spectaculaire est la destruction de la pyramide nasale avec le ""nez en lorgnette"" comme traduction clinique; Cependant. Celle-ci est moins rencontree que les atteintes sinusiennes ; si l'atteinte des sinus maxillaires et ethmoidaux est frequente celle des sinus frontaux et sphenoidaux est rare. Ici; la lepre realise surtout un epaississement de la muqueuse sinusienne avec rarement mie suppuration associee ; l'os alveolaire du maxillaire superieur n'echappe pas a la colonisation et a la destruction hansenienne. Par rapport aux etudes anterieures faites par de nombreux auteurs; le constat est celui d'une baisse relative de la frequence des lesions observees; qu'elles soient cliniques ou radiologiques. Ceci en rapport avec l'avenement et l'efficacite de la P.C.T.-O.M.S. antilepreuse"